Aujourd'hui pire qu'hier et bien mieux que demain...
Voici donc Sarkösy Président….
Au delà de la satisfaction de l’ambition d’un homme avide de pouvoir (ou plutôt des signes du pouvoir, tant il est vrai que dans le monde occidental les hommes politiques ne sont que les pantins de l’oligarchie mondiale), il n’y a rien à espérer de ce nouveau président.
C’est l’ensemble de la campagne électorale qui doit être analysée comme une parfaite entreprise de normalisation du risque « français » par les acteurs du « système à tuer les peuples ». Lesquels, contrairement aux croyances naïves de certains d’entre nous, sont des gens intelligents, puissants, dotés de moyens financiers impressionnants et organisés autour d’une volonté de nuire aux peuple enracinés en général et au monde blanc européen en particulier.
Nous avons donc eu le match truqué organisé entre une gauche cosmopolite ouvertement favorable à l’invasion allogène et une droite cosmopolite ouvertement favorable au mondialisme capitaliste. La gauche, dotée d’un programme excessif et coûteux, avec une présence trop visible des « z’issus » des quartiers allogènes, était programmée pour perdre en rendant acceptable, comme un moindre mal, la victoire de Sarkösy, favorable à l’immigration comme les autres mais, ma chère, à une immigration choisie… Enfin, pour être sûr de ne pas avoir la surprise désagréable du 21 avril 2002, on a programmé un troisième homme sur mesure, chargé de canaliser les velléités anti-système : ce fut Bayrou, homme passé par l’appartenance à la Commission Trilatérale ce qui en dit long sur ses orientations mondialistes et atlantistes.
La partition a été bien écrite et bien jouée par l’orchestre médiatique, contrôlé par les capitaux transnationaux, avec le résultat que l’on sait, il est vrai fortement aidé par les choix stratégiques imbéciles et égoïstes de Jean Marie Le Pen.
Ce résultat ne peut que conforter les oligarchies occidentales dans le mépris abyssal qu’elles ont pour les capacités de réflexion autonomes des peuples. D’une certaine manière, je serai assez d’accord avec elles : continuer de se faire piéger par les sirènes des Sarkösy, Royal et Bayrou après plus de soixante ans de mensonges et d’exploitation par les mêmes courants politiciens semble bien être la marque d’un crétinisme incurable. La démocratie n’en sort pas grandie et apparaît bien, une fois de plus, comme le régime où les imbéciles se font manipuler par les escrocs habiles.
Il ne faut pas être grand prophète pour anticiper l’avenir :
Soyons certains que toutes les promesses faites par Sarkösy aux acteurs du capitalisme transnational, aux atlantistes, aux sionistes et aux immigrés africains présents et futurs seront tenues alors que toutes celles qui parlaient d’identité et de fierté nationale, de rupture avec les valeurs fondamentales de gauche, de refus des repentances seront très vite oubliées.
Les seuls à se frotter vraiment les mains ce matin sont les membres des cercles financiers mondiaux : la «France» qui résistait encore un peu, très mollement il faut bien l’avouer mais c’était encore trop, à la pression globalisatrice américanocentrée va rentrer dans le rang.
Chirac avait été le président de la trahison identitaire et de l’aplatissement devant tous les lobbies, Sarkösy sera le supplétif des Etats-Unis néo-libéraux et messianistes.
Au delà de la satisfaction de l’ambition d’un homme avide de pouvoir (ou plutôt des signes du pouvoir, tant il est vrai que dans le monde occidental les hommes politiques ne sont que les pantins de l’oligarchie mondiale), il n’y a rien à espérer de ce nouveau président.
C’est l’ensemble de la campagne électorale qui doit être analysée comme une parfaite entreprise de normalisation du risque « français » par les acteurs du « système à tuer les peuples ». Lesquels, contrairement aux croyances naïves de certains d’entre nous, sont des gens intelligents, puissants, dotés de moyens financiers impressionnants et organisés autour d’une volonté de nuire aux peuple enracinés en général et au monde blanc européen en particulier.
Nous avons donc eu le match truqué organisé entre une gauche cosmopolite ouvertement favorable à l’invasion allogène et une droite cosmopolite ouvertement favorable au mondialisme capitaliste. La gauche, dotée d’un programme excessif et coûteux, avec une présence trop visible des « z’issus » des quartiers allogènes, était programmée pour perdre en rendant acceptable, comme un moindre mal, la victoire de Sarkösy, favorable à l’immigration comme les autres mais, ma chère, à une immigration choisie… Enfin, pour être sûr de ne pas avoir la surprise désagréable du 21 avril 2002, on a programmé un troisième homme sur mesure, chargé de canaliser les velléités anti-système : ce fut Bayrou, homme passé par l’appartenance à la Commission Trilatérale ce qui en dit long sur ses orientations mondialistes et atlantistes.
La partition a été bien écrite et bien jouée par l’orchestre médiatique, contrôlé par les capitaux transnationaux, avec le résultat que l’on sait, il est vrai fortement aidé par les choix stratégiques imbéciles et égoïstes de Jean Marie Le Pen.
Ce résultat ne peut que conforter les oligarchies occidentales dans le mépris abyssal qu’elles ont pour les capacités de réflexion autonomes des peuples. D’une certaine manière, je serai assez d’accord avec elles : continuer de se faire piéger par les sirènes des Sarkösy, Royal et Bayrou après plus de soixante ans de mensonges et d’exploitation par les mêmes courants politiciens semble bien être la marque d’un crétinisme incurable. La démocratie n’en sort pas grandie et apparaît bien, une fois de plus, comme le régime où les imbéciles se font manipuler par les escrocs habiles.
Il ne faut pas être grand prophète pour anticiper l’avenir :
Soyons certains que toutes les promesses faites par Sarkösy aux acteurs du capitalisme transnational, aux atlantistes, aux sionistes et aux immigrés africains présents et futurs seront tenues alors que toutes celles qui parlaient d’identité et de fierté nationale, de rupture avec les valeurs fondamentales de gauche, de refus des repentances seront très vite oubliées.
Les seuls à se frotter vraiment les mains ce matin sont les membres des cercles financiers mondiaux : la «France» qui résistait encore un peu, très mollement il faut bien l’avouer mais c’était encore trop, à la pression globalisatrice américanocentrée va rentrer dans le rang.
Chirac avait été le président de la trahison identitaire et de l’aplatissement devant tous les lobbies, Sarkösy sera le supplétif des Etats-Unis néo-libéraux et messianistes.